La psychologie positive aide nos enfants à être plus heureux, ce qui a des effets positifs …
- sur la réussite scolaire ( plus entreprenants, plus concentrés, plus aptes à intégrer et traiter de nouvelles informations)
- sur la santé (moins malades, plus susceptibles de vivre longtemps.
- sur la vie en société (plus sociables, plus serviables, moins égocentriques).
Ainsi, des enfants plus heureux réussissent mieux à l’école et en dehors de l’école et donneront naissance à des adultes plus épanouis, capables de trouver leur place dans la société, leur voie, de trouver ou de créer leur emploi.
Quelles sont les compétences qui aident à être le plus heureux possible ?
4 compétences sont à acquérir avant de pouvoir être heureux :
- Faire face aux choix abondants
Un peu de choix est bon et permet d’exercer son autonomie. Proposer un choix entre deux solutions est recommandée dans tous les livres d’éducation pour impliquer l’enfant. Mais confrontés à un choix trop abondant, le cerveau est submergé. - Arrêter de se comparer aux autres
Si vous voulez être sûr d’être malheureux, comparez-vous tous les jours aux personnes que vous estimez avoir mieux réussi que vous. D’autant plus que le problème ne se résout pas avec le temps : plus on réussit, plus on aura tendance à trouver des personnes auxquelles se comparer qui ont encore mieux réussi ou bien dans un autre domaine. - Ne pas s’habituer trop vite
La nature humaine s’habitue vite aux choses matérielles, si bien qu’elles deviennent insignifiantes très vite. Pour retrouver du plaisir, de l’intérêt et de la stimulation, nous voulons alors le modèle plus récent ou plus puissant (les grandes marques l’ont bien compris…). Et nous entrons dans un cercle vicieux d’insatisfaction chronique. - Combattre les biais négatifs du cerveau
Notre cerveau retient plus facilement et plus efficacement les informations négatives que positives. C’est un vieux mécanisme de survie. Il est plus urgent et vital de se rappeler du tigre près de la rivière , que du joli sourire d’un ami. En général, si quelqu’un vous dit que vous êtes bon mais qu’une autre personne vous dit que vous êtes mauvais pour la même action, vous retiendrez la remarque négative de la deuxième personne. Il faut souvent 3 personnes au minimum qui nous disent que nous sommes bons pour contrecarrer les effets négatifs car une information négative ne peut être contre balancée que par 3 fois plus d’informations positives !